Comment reconnaître un bon vin en un coup d’œil ?

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Comment reconnaître un bon vin en un coup d’œil ?

Helyovinis

Helyovinis

La dégustation commence par les yeux. Au premier coup d’œil, ils fournissent les premières informations sur les caractéristiques potentielles d’un vin. Nous vous montrons un large éventail de paramètres que nous pouvons analyser avec nos yeux et tirer une série de conclusions.

La couleur

La couleur est le premier indice des caractéristiques d’un vin, mais étant donné la nature subjective de l’être humain, l’évaluation peut varier d’une personne à l’autre, d’où la nécessité de définir un concept spécifique pour unifier nos connaissances sur le vin. Pour évaluer la couleur, trois facteurs doivent être pris en compte : la teinte, la nuance et l’éclat. Vous pouvez demander conseil auprès d’un spécialiste comme Helyovinis pour avoir plus de précisions à ce sujet.

La transparence

La transparence n’a rien à voir avec la clarté et peut en fait être définie comme la propriété d’un liquide qui laisse passer les rayons lumineux. La transparence dépend du degré de coloration du vin. Ainsi, les vins peu colorés, c’est-à-dire les vins blancs, auront une transparence maximale, tandis que les vins très colorés, c’est-à-dire les vins rouges, auront une faible transparence.

Fluidité et viscosité

Dans les tests de dégustation, cette caractéristique est également prise en compte par la sensibilité tactile, mais à l’heure actuelle, elle est évaluée visuellement. L’observation attentive du vin versé ou la rotation du verre pour que le liquide se disperse le long des parois du verre peuvent donner une indication sur la fluidité du vin. Le corps du vin est visible à l’œil nu lorsque l’on fait tourner le vin dans le verre. Ensuite, lorsque le verre est maintenu immobile, vous remarquerez qu’une « déchirure », également appelée « jambe », s’est formée à la surface du vin. Ces larmes sont essentiellement dues à la proportion d’alcool et à la tension superficielle entre les trois éléments : l’eau, l’alcool et le verre.

Si le rapport entre l’éthanol et le glycérol est le premier, la déchirure sera plus petite. Si le rapport est le second, elle sera plus grande. Ces deux phénomènes sont dus à l’évaporation de l’alcool et la tension superficielle du « film » sur le verre est plus élevée que celle du vin sous-jacent. Dans les vins doux, cette viscosité est encore plus élevée en raison de la teneur en sucre.

L’aptitude à la formation de mousse

Elle est due au dégagement du dioxyde de carbone (CO2) dissous dans le vin lors du versement, entraînant la formation de bulles plus ou moins abondantes, plus ou moins grosses et nombreuses. C’est une caractéristique majeure des vins mousseux élaborés par la méthode classique (champenoise) ou Charmat, ainsi que des vins effervescents. Les bulles doivent être petites et homogènes.

Le temps qui passe

En vieillissant, les vins blancs s’assombrissent et peuvent prendre une teinte brunâtre. Cela indique que le vin a perdu son fruité et sa fraîcheur et qu’il est entré dans une période de déclin. Les vins à forte acidité naturelle ont une durée de vie plus longue et peuvent être conservés en parfait état pendant de nombreuses années. Dans le cas des vins rouges, le déclin dû au vieillissement se manifeste par une perte d’intensité de la couleur, avec des reflets brunâtres et des bords en peau d’oignon, qui peuvent même devenir transparents.